un collectif de chefs d’entreprises va manifester pour l’achèvement du chantier

“On a beaucoup entendu parler des Parisiens, on en a marre de souffrir.” L’adjoint au maire Thierry Gauthier fait des présentations dans la chambre haute de la mairie de Bayenc-et-Czenec. à une dizaine de mètres, La fameuse route dont on parle depuis quarante ans. Il est accompagné d’élus du village, comme le frère de Germinal, Jean-Manuel Piro, et de l’association “J’aime Beynac et sa vallée”..

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autour d’eux, Chefs d’entreprise de la Vallée de la Dordogne. Ils sont porteurs, artisans, agriculteurs, collectés « Groupement Professionnel des Usagers de la Route » Au nom de, pour exiger l’achèvement du site de dérivation de Benac « Développement économique de la Vallée ». Ils se produiront sur la route traversant le village le samedi 21 janvier et espèrent attirer “Cent voitures” En convoi, comprenant de nombreux camions professionnels, qui partira du lycée Pré de Cordy à Sarlat vers 10h pour le défilé à Bayenac jusqu’à midi.

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Un groupe de chefs d’entreprise

“Le passage principal de la ville est relativement étroit, nous nous bloquons souvent”Florent Guy témoigne, à la tête d’une Entreprise de travaux publics et de maçonnerie à Boisson-de-Caudouin : “Souvent on ne veut pas venir de ce côté-là, on travaille à Bergerac, Sarlat et Périgueux, Sarlat est la ville la plus proche mais avec le temps, c’est la plus éloignée. Je ne comprends pas pourquoi Bayenac est le seul village comme ça. nous pouvons faire. Ne faites pas le tour.

Le foie gras Lambert de Bayenac est également là, ainsi que Véronique Destoys, qui en dirige un. Commerce de vêtements à Vezac et Saint-Vincent-de-CosseEt traverse donc Benac plusieurs fois par jour : « Les opposants ont parcouru un long chemin. Nous, le projet approuvé, n’avions aucune raison de faire cela. Mais aujourd’hui, quand le projet est arrêté, parler de détruire ce que nous avons construit, c’est nous rendre un mauvais service.

“Jusqu’à présent, nous avons laissé faire”

Il y a la justice Refus de détruire le département
Piles de pont Fabriqué en Dordogne. Le département menace également de payer une amende si la réhabilitation n’est pas entamée. Mais le conseil départemental a remis un nouveau projet à la préfecture, qu’il espère reprendre sur le site s’il obtient toujours le feu vert.

“Je suis un élu, et toute ma vie j’ai défendu la loi et les règles.”répondre Thierry Gauthier, Adjoint au Maire de Bayanque. “Mais dans ce cas, c’est une minorité de personnes qui ont utilisé leur pouvoir pour en arriver là où nous en sommes aujourd’hui. Jusqu’à présent, nous avons laissé faire, nous pensions que cela reviendrait à la normale. Mais les artisans, le collectif, nous Écoutez-les. Nous devons être là pour les soutenir.

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